N’avez-vous jamais ressenti, confusément ou non, combien l’eau pouvait être source de bien-être ?
Une gorgée d’eau volée à la source, un bain dans un torrent ou une marche pieds nus sur la plage…
C’est une expérience que nous avons tous vécue, le plus souvent sans se poser de question, en trouvant cela parfaitement naturel.
Et pourtant, y-a-t-il un autre élément naturel qui puisse nous faire connaître les mêmes effets ?
Les premières découvertes
J’ai pris conscience de ces bienfaits, pour la première fois, en découvrant les travaux de Marcel Violet qui a passé de nombreuses années à mettre en évidence les effets biologiques d’ondes encore inconnues dans l’élément commun à tous les corps vivants, animaux et végétaux : L’eau.
De nombreux autres chercheurs se sont intéressés aux pouvoirs de l’eau, depuis Masaru Emoto pour qui l’eau porte l’information du vivant et la transmet à tout ce qu’elle touche jusqu’à Vinh Luu qui le premier a parlé de la mémoire de l’eau.
Puis il y eu le Dr Benveniste qui à partir de 1985 mena des recherches poussées sur la transmission des informations chimiques par l’eau, travaux dont les résultats positifs l’incitèrent à entreprendre une publication dans la revue Nature.
Première réaction de scepticisme des rédacteurs de Nature et du monde scientifique
Le Dr Benveniste poursuit ses travaux et entreprend de démontrer la possibilité de téléporter des informations chimiques entre Paris et New York. En clair, cela voudrait dire que l’on n’aurait plus besoin de fabriquer des médicaments en quantité mais qu’il suffirait de transmettre les informations chimiques « mémorisées » par l’eau. Plus besoin d’aller chez le pharmacien, il suffirait de télécharger le fichier-médicament sur internet
Largement de quoi inquiéter l’industrie pharmaceutique…
Bizarrement, Le Dr Benveniste est trainé dans la boue et excommunié du monde scientifique. Son laboratoire est fermé en 1995 ; Benveniste est meurtri, brisé, isolé, physiquement et moralement ; sa santé décline jusqu’à son décès en 2004.
Dix ans après
Dix ans après, c’est-à-dire maintenant, le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour sa découverte du virus du sida, retrouve les anciens collaborateurs du Dr Benveniste et reprend les travaux de celui-ci pour démontrer que l’on peut non seulement coder un ADN tout entier sur de l’eau liquide, mais aussi lire la trace électromagnétique mémorisée sur cette même eau liquide pour reproduire fidèlement (même à distance) l’ADN utilisé lors de la dilution.
Il explique tout cela fort bien dans le film de Christian Manil, diffusé récemment sur France 5 ; à regarder impérativement ! C’est plus qu’une révolution :
C’est La révolution et c’est, si vous en avez la possibilité, à diffuser le plus largement possible (Cliquez sur les boutons Facebook et Twitter ci-dessous) parce que les médias, « aux ordres », n’en parleront pas !